• Lors d'une conversation sur les assurances ...


    - Dis Régine, combien paye-tu d'assurance pour ta maison ? demande Vincent. 
    - Ah pas beaucoup, je dois être à 170€ par an ...
    - Ah oui, ben ça va !!! Et c'est une bonne assurance ? 
    - Ben quand on en a pas besoin oui mais dernièrement j'ai eu un dégât des eaux et ils ne m'ont pas encore remboursé ...
    - T'as eu un dégât des eaux ? Comment ça c'est passé ? demande Vincent 
    - Ben j'ai mon mûr du fond, celui qui donne vers l'extérieur qui est tout humide ...
    - Mais c'est pas un dégât des eaux ça, c'est dû à une mauvaise isolation ... Ton assurance ne va pas te rembourser ...
    - Ben si quand même, je ne leur demande jamais rien, ils peuvent bien faire ça ?


    votre commentaire
  • - Ben alors Régine, tu prends ma place ? Demande Marc. 
    - Euh, y a ton nom écrit dessus ?
    - On s'croirait à la maternelle ici !!! Réplique Paul. 
    - Toi « Ta Gueulle » !!! 
    - Attends Régine,  à qui tu parles comme ça ? Pour qui tu te prends ? 
    - Pour une Dame que l'on respecte ...


    Y-en a vraiement qui se la joue ... 


    votre commentaire
  • A la recherche d'enveloppes, Régine faut des pieds et des mains pour en trouver. Elle va dans tous les services, appelle tous ses collègues ... Un directeur passe ...



    - Et bien, tu crois que tu vas les trouver tes enveloppes ?
    - En tout cas, je fais tout pour !!! Vous savez dégourdie ça ne s'apprend pas !!!



    Quelques minutes plus tard, elle lui propose un café ... Malheureusement, la machine automatique n'a plus de gobelet. Et décide donc de la réapprovisionner ... Elle appuie sur le bouton et aucun gobelet ne tombe ... La gourde les a mis à l'envers ...



    - Effectivement, Régine, dégourdie ça ne s'apprend pas lui dis-je ....



    Et c'est bien dommage pour elle ....


    votre commentaire
  • Régine a décidée le matin même de prendre son aprés-midi ...



    - Régine, pourras-tu me faire ceci pour cet aprés-midi ? demande Jean
    - Non, impossible, j'ai pris mon après-midi ....
    - Ah mais comment allons nous faire ? replique Jean
    - Mais tu sais Jean, je vais te dire une chos : Paris ne s'est pas construit en un seul jour ....



    Je pense que son cerveau non plus, et il n'est malheureusement toujours pas fini ...


    votre commentaire
  • Dans la rédaction de leurs P.-V., les agents commettent parfois de petites erreurs plutôt amusantes...


    Parfois dans l'empressement, dans le stress, de petites coquilles s'y glissent de manière non intentionnelle. Loin de vouloir nous moquer des policiers, qui parfois s'expriment dans une langue qui n'est pas la leur, voici quelques perles, qui ont d'ailleurs été publiées dans une revue interne de la police.

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p>Soudain, la voiture recula pour mieux avancer.

    Comme il devait être pris en charge au plus vite par un asile d'aliénés, il a été conduit au poste de police!

    Le défunt a formellement reconnu son agresseur.

    Cinq des trois suspects ont été relâchés.

    L'homme a juste eu le temps de déposer sa plainte sur le bureau avant de s'écrouler devant nos yeux qui n'ont rien compris.

    N'ayant pu abuser de la jeune femme, il la viola sauvagement.

    Les neufs coups de couteau sur le cou et le visage de la victime laissaient croire à une mort qui n'était pas naturelle.

    Si la fenêtre du bureau n'avait pas été ouverte, elle aurait été fermée, ce qui lui aurait permis de s'enfuir...

    L'homme n'accepta de signer la déposition que du bout des lèvres.

    Il était cloué sur son lit d'hôpital par deux coups de couteau au bras.

    L'homme était assez lucide pour constater qu'il n'avait plus toute sa lucidité.

    N'écoutant que son courage, la policière fut obligée de battre en retraite.

    L'accident qui avait provoqué sa mort était bien un accident mortel.

    Le récidiviste n'avait jamais rien eu à se reprocher.

    L'homme, qui était aussi sourd que son épouse, ne semblait pas s'entendre très bien avec elle.

    Pour sortir, il est clair que l'homme avait d'abord dû entrer.

    Ivre au milieu de la rue principale du village, l'homme nous a traités de sales flics, ignorant que nous étions des agents de police.

    La femme essayait de cacher son identité derrière ses larmes.

    Les recherches ont permis de retrouver rapidement les 5 cadavres des 2 disparus.

    Personne n'ayant donné les ordres nécessaires, il n'était pas difficile d'y obéir.

    Nous avons donc pu constater qu'il n'y avait rien à constater. Ses explications étaient si embrouillées que nous avons dû le relâcher, faute d'avoir la preuve que nous pouvions comprendre ses explications.

    L'infraction fut constatée par la police deux jours avant qu'elle n'ait lieu.

    Le cadavre ne semblait pas en possession de toutes ses facultés.

    Dès que l'homme fut abattu, nous avons pu procéder à son interrogatoire.

    Arrêté par les enquêteurs, le voleur les a menacés d'appeler la police.

    Le motif du vol était le meurtre.

    Jusqu'au bout, l'homme répondit aimablement à toutes les questions par un grand silence.

    Il rédigea lui-même par écrit son témoignage oral.

    Ayant perdu les deux bras, le conducteur faisait de grands signes pour attirer l'attention des autres automobilistes.

    Il est à noter que les deux véhicules sont entrés en collision l'un avec l'autre exactement le même jour.

    Le plaignant, visiblement en état d'ébriété, prétendait s'appeler Jésus et signa le formulaire d'une croix.

    Un violent coup de marteau l'avait cloué au lit depuis deux jours.

    La disparition de l'enfant a été signalée par ses parents dès son retour.

    Le pendu est mort noyé.

    C'est la pluie qui empêcha le policier de s'apercevoir qu'il neigeait.

    L'homme nous raconta toute la vérité qui n'était en fait qu'un tissu de mensonges.

    Pendant tout l'interrogatoire, l'homme n'a cessé de nous dévisager avec ses propres yeux.

    Maîtrisé par nos soins, l'homme s'est enfui à toutes jambes, malgré sa jambe artificielle qui s'était décrochée.

    Le policier pu frapper son agresseur à la tête sans difficulté, son arme étant parfaitement réglementaire.

    Le suspect étant sans domicile fixe, les policiers purent le cueillir quand il sortit enfin de chez lui.

    L'homme avait suffisamment gardé la tête froide pour ranger soigneusement les morceaux de corps au congélateur.

    Mort sur le coup, l'homme avait déjà été victime d'un accident identique l'an dernier.

    Percé de plusieurs balles, le cadavre flottait quand même dans la rivière.

    La victime, blessée à une jambe, est venue jusqu'au véhicule de police en copulant sur une jambe.

    Le suspect s'est alors décidé à passer aux aveux sans même qu'on ait à le frapper.

    L'homme avait tenté de forcer toutes les issues de la femme, sans parvenir à s'y introduire.

    La tête ne lui tenait plus que par la peau du derrière.

    Si nos policiers n'étaient pas intervenus, le viol n'aurait sûrement jamais eu lieu.

    Nous avons été obligés de constater le décès avant que le mort nous décrive son agresseur.

    Le mur avançait à grand pas vers le véhicule.
    </o:p>

    votre commentaire